バルデ(ジャン) : Jean Bardet est un シェフ français, né le 27 septembre 1941, considéré dans les années quatre-vingt-dix comme l’un des principaux restaurateurs de トゥレーヌ.
Biographie de jean Bardet : Jeunesse et début de notoriété : Jean Bardet naît en 1941 à シャトールー de parents restaurateurs. Il cesse sa scolarité à 15 ans et est recruté comme apprenti, en 1955, au Relais gastronomique de la gare de l’Est, à Paris. À 31 ans, il ouvre un restaurant à シャトールー.
Dix ans plus tard, en 1982, la présidence de la République fait appel à lui pour le repas du Sommet du G7 à ベルサイユ. Trois ans plus tard, il est nommé « cuisinier de l’année » par le ゴエ・ミラウ, honneur qu’il reçoit à nouveau en 19922.
À compter de 1987, sa femme Sophie et lui tiennent un hôtel-restaurant (ルレ&シャトー)へ ツアー、ル Château Belmont. Jean Bardet y reçoit les notables de la région (Jean Germain, Michel Sapin, etc.) ainsi que des personnalités d’envergure nationale, tant politiques (Nicolas Sarkozy, Jean-Pierre Raffarin, etc.), du monde des affaires (Olivier Bouygues) que du show-biz (Eddy Mitchell, Patrick Bruel, etc.) – il se lie particulièrement avec ジェラール·ドパルデュー, originaire de la région (il est né à シャトールー 1948中)。
Le chef reçoit pour cet établissement une étoile au ミシュラン·ガイド en 1982 puis une seconde en 1985 et trois au Bottin Gourmand (la dernière en 1988).
En avril 1998, des enquêteurs de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) constatent une dizaine d’irrégularités au Château Belmont, notamment des « tromperies manifestes » sur la provenance de certains produits. Des poursuites judiciaires sont engagées ; l’avocat du couple admet des maladresses mais argue de l’absence de « volonté de tromper les hôtes ». Le Guide Michelin retire néanmoins les deux étoiles attribuées à l’établissement tourangeau, ce qui fait débat au sein de la profession. Reconnus « coupables de publicité mensongère », Sophie et Jean Bardet sont condamnés le 16 décembre 1999 par le tribunal correctionnel de Tours à 15 000 francs d’amende chacun, alors que le procureur requiert deux mois de prison avec sursis et des amendes de 60 000 et 70 000 francs. Le parquet décide d’interjeter appel : la cour d’appel d’Orléans relaxe finalement les époux de certaines infractions dans son jugement du 14 mars 2000, estimant que « la qualité intrinsèque des produits servis dans l’établissement, notamment la fraîcheur, n’est pas mise en cause par l’accusation » : le couple n’est plus condamné qu’à 12 000 francs d’amende en tout et pour tout. L’affaire engendre de manière indirecte une grève à la DGCCRF en juin, tandis que l’hôtel-restaurant du chef cuisinier se voit réattribuer ses deux étoiles par le Guide Michelin l’année suivante.
Retraite active : Début mars 2008, le couple ferme définitivement Le Château Belmont. Sophie et Jean Bardet ouvrent par la suite – dans leur demeure de ジュエ レ トゥール – une table d’hôtes destinée à des clients fortunés.[/vc_column_text]
Biographie de jean Bardet : Jeunesse et début de notoriété : Jean Bardet naît en 1941 à シャトールー de parents restaurateurs. Il cesse sa scolarité à 15 ans et est recruté comme apprenti, en 1955, au Relais gastronomique de la gare de l’Est, à Paris. À 31 ans, il ouvre un restaurant à シャトールー.
Dix ans plus tard, en 1982, la présidence de la République fait appel à lui pour le repas du Sommet du G7 à ベルサイユ. Trois ans plus tard, il est nommé « cuisinier de l’année » par le ゴエ・ミラウ, honneur qu’il reçoit à nouveau en 19922.
À compter de 1987, sa femme Sophie et lui tiennent un hôtel-restaurant (ルレ&シャトー)へ ツアー、ル Château Belmont. Jean Bardet y reçoit les notables de la région (Jean Germain, Michel Sapin, etc.) ainsi que des personnalités d’envergure nationale, tant politiques (Nicolas Sarkozy, Jean-Pierre Raffarin, etc.), du monde des affaires (Olivier Bouygues) que du show-biz (Eddy Mitchell, Patrick Bruel, etc.) – il se lie particulièrement avec ジェラール·ドパルデュー, originaire de la région (il est né à シャトールー 1948中)。
Le chef reçoit pour cet établissement une étoile au ミシュラン·ガイド en 1982 puis une seconde en 1985 et trois au Bottin Gourmand (la dernière en 1988).
En avril 1998, des enquêteurs de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) constatent une dizaine d’irrégularités au Château Belmont, notamment des « tromperies manifestes » sur la provenance de certains produits. Des poursuites judiciaires sont engagées ; l’avocat du couple admet des maladresses mais argue de l’absence de « volonté de tromper les hôtes ». Le Guide Michelin retire néanmoins les deux étoiles attribuées à l’établissement tourangeau, ce qui fait débat au sein de la profession. Reconnus « coupables de publicité mensongère », Sophie et Jean Bardet sont condamnés le 16 décembre 1999 par le tribunal correctionnel de Tours à 15 000 francs d’amende chacun, alors que le procureur requiert deux mois de prison avec sursis et des amendes de 60 000 et 70 000 francs. Le parquet décide d’interjeter appel : la cour d’appel d’Orléans relaxe finalement les époux de certaines infractions dans son jugement du 14 mars 2000, estimant que « la qualité intrinsèque des produits servis dans l’établissement, notamment la fraîcheur, n’est pas mise en cause par l’accusation » : le couple n’est plus condamné qu’à 12 000 francs d’amende en tout et pour tout. L’affaire engendre de manière indirecte une grève à la DGCCRF en juin, tandis que l’hôtel-restaurant du chef cuisinier se voit réattribuer ses deux étoiles par le Guide Michelin l’année suivante.
Retraite active : Début mars 2008, le couple ferme définitivement Le Château Belmont. Sophie et Jean Bardet ouvrent par la suite – dans leur demeure de ジュエ レ トゥール – une table d’hôtes destinée à des clients fortunés.[/vc_column_text]